Un an et l'envie d'aller plus loin

Depuis la reprise, le 23 août, les choses sont allées très vite et du coup on n'a pas remis à jour notre blog (alors que par contre, on nourrit abondamment la page Facebook). Désolé pour le délai.

Pour ceux qui n'ont pas accès à ce réseau social, on tient quand même à rappeler que nous avons fêté notre premier anniversaire. Hé oui, un an déjà ! Nous sommes encore là, ce qui est déjà une bonne nouvelle.

Et on ne va pas s'arrêter là.

Après nos prix sacrifiés sur les derniers produits de l'été 2017, et alors que nous commençons à recevoir les chaussures de la nouvelle collection, nous préparons déjà l'été prochain.

Nous partons en effet au salon MODCO, qui se déroule près de Nantes, à La Chapelle sur Erdre, les 10 et 11 septembre. On va aller sélectionner les produits les plus sympas.

Des soldes épuisantes !

Ca y est, c'est fini...Cette dernière semaine de soldes, avec une démarque à 70 % sur tous les produits du magasin (sauf sacs et cordonnerie) a été éprouvante.

Dès mardi, à 10 heures pétantes, les clients étaient sur les pieds de guerre. Même pas le temps de prendre un café à l'ouverture... BFM TV aurait dû venir filmer. On a eu du monde toute la journée, avec des arrivées par grappes.

Ce qui a marché : les chaussures de mode pour les femmes, les Bugatti pour les messieurs et surtout les modèles typés confort. On a bien retenu la leçon : on va renforcer l'offre dans ce domaine.

Dans la semaine, on a vendu plus de 400 paires de chaussures.

Evidemment, étant donné le rythme infernal, il y a eu quelques erreurs. On a eu un cas avec une seule chaussure dans la boîte (l'autre était restée en vitrine) et des cas où des chaussures de taille et 38 et 39 se trouvaient dans la même boîte. Oups !

Sinon, c'était ce soir réconfortant d'avoir une cliente qui est venue dire à quel point elle se sentait bien dans ses nouvelles chaussures.

Sur ce, on va se reposer.

Préférez toujours des chaussures de qualité

C'est une histoire que rapporte la Voix du Nord. A Marly, près de Valenciennes, une femme a eu le malheur d'acheter des chaussures à bas prix. Des nu-pieds made in China, qu'elle a trouvés dans une zone commerciale.

Le résultat est qu'elle a eu les pieds brûlés.

L'explication ? "On sait que les Chinois utilisent beaucoup de formol pour conserver les produits pendant leurs voyages en containers, raconte cette dame. Je suis persuadée qu’avec les très fortes chaleurs, ça a diffusé sur mes pieds".

Apparemment, ce n'est pas la première fois que cela arrive. La Voix du Nord rappelle dans le même article que plusieurs histoires similaires ont déjà eu lieu.

Conclusion : il vaut mieux acheter des chaussures de qualité, dont la provenance est garantie. Et de préférence made in France, ou au sein d'un pays de l'Union Européenne.

Marche Vouvray-Randersacker : au bout de l'exploit

Alors que bon nombre de Vouvrillons vont se rendre ce week-end à Randersacker, dans le cadre des 25 ans du jumelage entre les deux villages, c'est l'occasion pour nous de saluer l'exploit de René-Jean Bienvenu.

Comme nous l'avons déjà expliqué, notre magasin a soutenu dès le début l'expédition de René, qui a décidé de marcher pendant 900 km entre Vouvray et Randersacker. Son sac à dos est marqué du logo d'Aux Pieds des Vignes. Ce sac orange était installé sur le chariot qu'avait bricolé notre voisin et ami.

En cours de route, le chariot a donné des signes de faiblesse. René-Jean a donc profité de son passage à la frontière franco-allemande pour le confier à des gens de Randersacker. Mais, pour son dernier jour, et pour faire son entrée au cœur du village, M. Bienvenu a choisi de porter son sac. On voit ici le nouveau maire de Randersacker, Michael Sedelmayer, lui donner un coup de main.

C'est ainsi que les habitants de Randersacker ont pu découvrir le logo de notre magasin. De là à dire qu'ils viendront jusqu'à Vouvray pour nous acheter des chaussures, c'est une autre histoire. Mais, on est contentes d'avoir accompagné René.

Et puis, comme on le voit ici, avoir des bonnes chaussures (ou sandales), ça aide.

Gestion des stocks : quelle galère !

La vocation de ce blog est aussi de mieux faire connaître notre quotidien. Si les clients ne voient que les produits dans la vitrine, et à l'intérieur du magasin, il se passe beaucoup de choses en coulisses. Et l'une des activités les plus chronophages est la saisie du stock.

Voici par exemple le logiciel qui nous permet de saisir les références de chaque paire de chaussure que nous vendons. Au début, nous y passions des nuits. Aujourd'hui, nous y passons encore des jours. Mais, bientôt, nous aurons une formation pour aller plus vite.

Par ailleurs, on s'est équipé d'une "douchette" (si si, c'est le nom). Cet outil permet de scanner à la volée et de suivre plus facilement l'état des stocks. Là encore, on va se faire conseiller pour mettre un peu d'ordre et dépenser moins.

Comme quoi, ce n'est pas facile de tenir un commerce. Mais bon, on a déjà réalisé notre rêve. Et tant qu'à faire, si on peut mettre fin au cauchemar que représente la saisie de toutes ces références, ce ne sera pas plus mal.

Des chaussures recyclées et stylées pour les sportifs

La France ne manque pas de start-up, y compris dans la chaussure. La société Soft'In propose ainsi des chaussures éco responsables.

Sa dernière création, le Sneaker Ector, est écotricotée à partir de fils issus de bouteilles plastiques recyclées. Pas mal pour de la récup'... Non seulement, c'est malin, mais cela permet de réduire son poids de 20 %.

Ce modèle a été primé récemment dans le cadre d’Inosport, un salon professionnel dédié à l’innovation dans le sport.

L'atelier Soft’in invente depuis 2011 des produits éco-conçus, pensés et fabriqués à Romans-sur-Isère, berceau de la chaussure française de luxe.

Aston Martin fait aussi des chaussures

Nous, on vend des Bugatti (aucun rapport d'ailleurs avec la marque de voitures). Mais, on ne résiste pas à l'envie de vous faire savoir qu'Aston Martin propose désormais des chaussures pour ses fans.

La marque d'origine anglaise, chère à l'agent 007, vient de lancer une édition limitée à 3 000 paires de sneakers.

Le modèle, disponible en 4 couleurs différentes, est développé en collaboration avec le chausseur italien Hogan. Il est étroitement dérivé de son modèle Olympia. Son style unique associe des inserts en maille de nylon et du cuir en provenance des artisans en charge de la sellerie de la DB11.

Ces baskets sont en vente dans la boutique lifestyle de Hogan et dans le showroom Aston Martin sur Dover street à Londres.

On est allé marcher avec René-Jean

Vous le savez sans doute, notre magasin soutient René-Jean Bienvenu dans sa marche entre Vouvray et Randersacker. Notre voisin est parti le 1er juin dernier et on suit en temps réel ce qu'il fait. D'une part, on regarde sa progression sur sa page Facebook, mais surtout, il nous appelle tous les jours.

On a avait convenu de se voir dimanche, lors de son étape à La Ferté Saint Aubin, près d'Orléans.

Payez vos chaussures avec votre mobile

Vous ne l'avez peut-être pas remarqué, mais nous avons à côté de la caisse un terminal Paylib. Ce système permet de payer sans contact, non pas avec une carte bancaire, mais avec son téléphone mobile.

Pour pouvoir utiliser cette solution, il faut toutefois que vous soyez équipé d'un smartphone Android compatible et que votre banque soit partenaire. Il est également nécessaire de télécharger au préalable l'application Paylib, à partir de Google Play.

Si toutes les conditions sont remplies, vous verrez à quel point c'est pratique. Il n'est plus nécessaire de sortir votre carte bancaire et de taper un code. Il suffit de passer votre smartphone au-dessus du terminal bancaire. La connexion de sait sans contact, au moyen de la technologie NFC.

On peut régler ainsi des achats dans une limite de 300 euros.

Bref, c'est comme le paiement sans contact par carte... Sauf que c'est avec un smartphone. Mine de rien, ça apporte de la modernité à Vouvray. Et en plus, le système Paylib sécurise les données bancaires des clients.

Pour plus d'infos, vous pouvez visiter le site de Paylib.

On a sauvé le marié !

Puisque vous aimez les anecdotes, voici comment nous avons aidé un marié étourdi. Il y a quelque temps, Vouvray a accueilli un mariage somptueux. Ces dames avec de belles toilettes, de beaux messieurs et un marié.... qui était venu en tennis.

Cet étourdi avait tout simplement oublié sa paire de chaussures à Paris. Panique dans l'entourage, quand on se rend compte de la bourde du marié. Il n'était décemment pas possible de monter à l'église de Vouvray en chaussures de sport ! Et vu l'horaire, c'était un peu chaud pour aller à Tours faire des emplettes.

Heureusement, nous sommes là. Le marié a pu trouver chaussure à son pied, avec une paire de Bugatti Cognac. Par chance, nous avions ce qu'il fallait en stock. Le bonhomme chaussait du 45 ! Il a retiré la semelle et a souhaité changer les lacets. Mais, l'essentiel était qu'il puisse être bien chaussé au moment de dire oui devant le curé.

Et en plus, on lui a fait un prix.

Pour un gars qui marchait à côté de ses pompes, Aux Pieds des Vignes a tout fait pour rétablir la situation. Au final, on a été félicitées par l'hébergeur qui accueillait les jeunes mariés à Vernou.

Pataugas change de pied

C'est évidemment une information qui nous concerne. Nous avons appris cette semaine que le groupe Vivarte avait revendu sa marque Pataugas à Hopps Group. Comme son nom ne l'indique pas, ce groupe est français propriétaire, notamment, de Colis Privé. Il souhaite devenir un nouvel acteur français de la livraison, des services et de la communication de proximité.

C'est donc un nouveau départ pour Pataugas, qui est née en 1950 au Pays Basque, et qui fait partie du patrimoine français de la chaussure. Son créateur, René Elissabide, avait eu l'idée de fondre du caoutchouc sur un réchaud à gaz - d'où le nom de Pataugas - pour en faire des semelles qu'il greffe à des espadrilles.

Prisées des marcheurs, les Pataugas avaient retrouvé une seconde jeunesse depuis les années 2000. Elles ont été revisitées par Agnès B. Jean-Paul Gaultier et Jean-Charles de Castelbajac. Et depuis 2013, Pataugas, c'est même de la maroquinerie.

L'aventure continue.

Plus d'infos sur la page Facebook de la marque.

Notre toute première vente

C'est sans doute un exploit, mais notre magasin a conclu sa première vente alors qu'il n'était pas encore ouvert. Alors que nous aménagions encore les locaux, et que notre caisse n'était même pas installée, une dame est entrée.

Elle a expliqué avoir besoin en urgence d'une paire de chaussures. Nous avons beau avoir essayé de lui faire entendre que le magasin n'était pas ouvert, elle n'a rien voulu savoir ("mais si, nous a-t-elle dit, puisque la porte est ouverte") et a demandé à essayer une paire de chaussures.

C'était une paire de chaussures blanches de marque TBS.

Mais, comment faire pour payer, puisque nous n'avions pas de caisse et bien sûr pas de terminal pour carte bancaire ? "Je vais aller à la tirette", a répondu cette dame d'un certain âge. Et elle est allée effectivement chercher de l'argent liquide pour régler.

Sur le moment, nous nous sommes demandées si ce n'était pas une blague. Mais, en fait, non. Notre première vente a vraiment eu lieu avant l'ouverture du magasin. Une anecdote mémorable.

Aux Pieds des Vignes soutient la marche de René-Jean Bienvenu

C'est notre voisin et aussi un ami du magasin. Parce qu'il vient souvent chez nous, c'est donc tout naturellement qu'Aux Pieds des Vignes a décidé de soutenir son projet.

Ce retraité Vouvrillon va en effet partir le 1er juin pour rallier Randersacker à pied. Soit, 900 km de marche en un peu plus d'un mois.

René-Jean Bienvenu a décidé de célébrer à sa manière le 25ème anniversaire du jumelage avec ce village Allemand situé en Bavière. Ce sera une façon de rendre hommage à son père qui, au lendemain de la seconde guerre mondiale, était rentré d'Allemagne à Vouvray à pied.

René-Jean a prévu d'arriver le 4 juillet à Randersacker. Vous pourrez suivre son périple sur Facebook et l'accompagner si vous le souhaitez.

Comme vous pouvez le voir, il est bien équipé, de la tête aux pieds. Notre ami a notamment transformé un caddie de supermarché avec des roues de tondeuse. Il portera également nos couleurs à travers la France et jusqu'à Randersacker.

Un 47 fillette chez Josef Seibel

Nous venons de recevoir de nouvelles chaussures pour hommes de chez Josef Seibel. Si vous ne connaissez pas cette marque allemande et familiale, établie depuis 1886, c'est le spécialiste de la chaussure de confort. Un confort qui rime avec style et qualité germanique.

Pour être bien, au quotidien, ce fabricant propose des chaussures flexibles et cousues main.

Et sans doute parce que les Allemands sont plus grands, et qu'il y a une demande pour cela, nous proposons sur nos nouveaux arrivages jusqu'à la taille 47 !

Les messieurs qui ont des grands pieds trouveront sans doute une paire à leur taille.

Voir les photos.

Pourquoi les lacets se défont-ils ?

Vous vous êtes sans doute déjà posé la question. Mais pourquoi les lacets de nos chaussures se défont quand nous marchons ?

Figurez-vous que des ingénieurs en mécanique à l'Université de Berkeley, en Californie, se sont penchés sur la question. Leur constat est que c'est un processus irrémédiable. Une fois que les lacets commencent à se dénouer, ils se défont forcement totalement.

Et là, c'est le drame. Les récits d'accidents dus à un lacet défait pullulent sur internet. Vous avez peut-être entendu parler du chauffeur de fourgonnette qui tue un motocycliste car son lacet a bloqué sa pédale d'accélérateur, l'enfant emporté par un escalator, le cycliste qui plonge par dessus son guidon en pleine circulation...

Bon, mais quelle est donc la cause ?

 En étudiant les images d'un chercheur sur un tapis de course, les chercheurs ont relevé deux forces distinctes responsables du "délaçage" de ses chaussures. Pour commencer, le choc du pied avec le sol a pour effet de détendre le noeud. Puis, le balancement de la jambe fait glisser la boucle. "C'est comme si une main invisible, desserrait le noeud et ensuite tirait sur les extrémités de vos lacets jusqu'à ce que tout se déroule", expliquent les chercheurs.

Incroyable, non ?

Ernest et Paloma : les mascottes de la boutique

Les enfants les adorent, mais il n'y a pas qu'eux... Les deux hippopotames qui se trouvent dans la boutique ne sont pas que des éléments de décor. Ce sont tout simplement les mascottes d'Aux pieds des Vignes.

Et ces hippos ont bien sûr un nom : à gauche, Ernest, à droite, Paloma.

D'où viennent-ils ? Voici l'histoire. Lors d'un stage de formation, Viviane découvre dans la boutique d'en face ces hippopotames qui se marrent. C'est le coup de foudre. Elle craque et en achète deux.

Les deux figurines vont être mises à contribution dans le magasin. Tenant des ballons, chaussés de lunettes de soleil quand il fait beau, Ernest et Paloma font le show. Et ça plaît.

Les deux hippos sont tellement associés à Aux pieds des Vignes qu'une cliente les a même identifiés à nous. Bon, c'est une question de point de vue... En tout cas, ces animaux sont utilisés par certaines marques pour décorer des sandales et même des bottes.

Les tongs débarquent à Vouvray

Ce n'est que le début du printemps et le mercure joue encore au yoyo ? Et alors ! Aux Pieds des Vignes joue déjà la carte de l'été avec sa collection de Tongs par Havaianas. Il s'agit d'une marque Brésilienne très connue.

L'histoire de l'entreprise commence en 1962. A cette époque, on voit apparaître la première paire de Havaianas (nom qui signifie Hawaïen en portugais). Elle est inspirée par la Zori, sandale traditionnelle japonaise à la semelle en paille de riz. Rapidement, la marque va devenir incontournable et l'un des symboles du Brésil.

Bonjour et bienvenue !

Après sa page Facebook, réclamée par les clients, Aux Pieds des Vignes a décidé d’ouvrir son blog. C’est une façon pour nous de mieux faire connaître le magasin, ses produits et de contribuer ainsi au rayonnement de Vouvray.

Nous profiterons de cet espace sur le web pour partager nos coups de cœur et vous faire découvrir aussi nos collections. Le blog servira aussi à prodiguer des conseils, en complément de ce que nous faisons déjà sur Facebook.

 A bientôt !